Après les avoir suivi dans leur escapade Berlinoise (Dolziger Str. 2), les mecs d’Odezenne sont de retour. Les yeux rivés vers le ciel, le trio éblouit une fois de plus avec sa poésie urbaine, sur fond de beats appuyés.
Le temps qui passe sans ton visage c’est pas
DU JEUJ’aime pas compter, j’aime pas savoir qui gère
LE FEU
(Visited 82 times, 1 visits today)
Last modified: 8 mai 2018