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10. How To Dres Well – What Is This Love.
Son premier album renfermait un bijou (Ready For The World). J’ai délaissé le deuxième effort (Total Loss), le troisème album semble être une forme de réconciliation. Posant pleine face sur la pochette, l’artiste Anglais révèle douze titres à fleurs de peau.
Titres coups de ♥ : Words I Don’t Remember, Precious Love.
J’en ai parlé ici.
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9. Warpaint – Warpaint
De retour après plusieurs années d’absence, Warpaint revient avec un album atmosphérique. Il faut persévérer pour rentrer dans l’univers ouaté du quator féminin. Progressifs, les titres révèlent leur saveur au fil des écoutes.
Titres coups de ♥ : Keep It healthy, Disco//Very.
J’en ai parlé ici.
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8. The War On Drugs – Lost In The Dreams
C’est toujours plusieurs mois après sa sortie, que j’écoute un album de The War On Drugs. Comme-çi la grâce d’Adam Granduciel devait se faire désirer. Comme son compète Kurt Vile l’an passé, l’artiste originaire de Philadelphie nous emmène dans un long voyage près des nuages.
Des titres de dix minutes qui en paraissent deux, quelle prouesse !
Titres coups de ♥ : Under The Pressure, Disappearing.
J’en ai parlé ici.
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7. Kid Francescoli – With Julia
Amateur de football (le marseillais n’a pas choisi son nom au hasard), Kid Francescoli s’est uni avec Julia, son ex petite amie pour composer cet album qui mélange subtilement disco vintage, jazz et hip hop. With Julia peut être considéré comme un pont par rapport à son précédent album, It’s Happening Again, auquel il n’hésite pas à faire quelques clins d’oeil.
Titres coups de ♥ : Blow Up, Boom Boom #2.
J’en ai parlé ici.
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6. Breton – War Room Stories
C’était pas gagné ce deuxième album pour ma part. Le groupe Anglais délaisse son univers urbain pour se rapprocher d’une pop électro. Les titres se révèlent tous efficaces.
Titres coups de ♥ : Envy, Legs & Arms.
J’en ai parlé ici.
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5. Bedroom – Grow
Peu d’instruments, mais une boite à rythme souvent présente, Bedroom aka, le petit frère de Youth Lagoon, construit avec mélancolie ses mélodies. Sensibilité à fleur de peau, des chansons aux ambiances cotonneuses guidée par une voix rêveuse.
Titres coups de ♥ : We All Need Something, Grow.
J’en ai parlé ici.
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4. Frànçois & The Atlas Mountains – Piano Ombre
Frànçois & The Atlas Mountains nous prend par la main et nous guide vers un chemin inconnu. Au fil des titres, le brouillard apparu à l’orée du Bois disparaît laissant place à une bulle lumineuse que l’on rêverai de toucher. La voix élastique de Frànçois se confond parmi les mélodies sauvages.
Titres coups de ♥ : Bois, The Way To The Forest.
J’en ai parlé ici.
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3. Kindness – Otherness
Comme son pote Blood Orange l’an dernier (dans le trio de tête de mes albums préférés), Kindness a invité du monde sur son deuxième album. Multiplication des voix, rythmes dansants, mélodie délicates et cuivrées, Adam Bainbridge (à l’origine du projet) a fait de Otherness un écrin renfermant onze bijoux.
Titres coups de ♥ : I’ll Be back, 8th Wonder, This Is Not About Us.
J’en ai parlé ici.
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2. Marble Arch – The Bloom Of Division
Le jeune Caennais est un vrai mystère. Si vous n’aimez pas vous perdre dans les endroits inconnus, n’allez pas plus loin. Les titres défilent et les images sautent devant les yeux : retrouvaille inespérée, pluie qui s’abat sous un ciel encore bleu ou encore sourires secoués par des larmes. Les souvenirs aussi ne manquent pas. On se demande si à chaque morceau, Marble Arch n’a pas lâché les cordes, pour lui aussi se laisser porter par un souffle vertigineux. Enregistré dans une chambre qui ne doit pas excéder une quinzaine de mètres carrés, l’album ouvre pourtant les fenêtres en grand.
Titres coups de ♥ : Antiscript, Heartshake.
J’en ai parlé ici.
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1. Ought – More Than Any Other Day
Dès le début de l’album, le chanteur, Tim Beeler, pousse un cri. Entrée en matière assez flippante. À l’image de ce cri, l’album est rageux, plein d’énergie, noir, et putain que c’est bon ! Ought ne lâche jamais la tension, comme-ci ils étaient tenus par fil très fin. Les guitares résonnent, alors qu’autour, tout semble s’être éteint. Tu penses que la tempête est passée. Mais c’est se tromper ; les coups reprennent de plus belle. Le quator formé à Montréal pendant le printemps érable des étudiants québécois, n’est pas là que pour gueuler. Il le prouve avec le morceau Today more than any other day, et son intro progressive de plus de deux minutes. Il ne faut pas trop non plus chauffer ces quatre gars là, le titre termine en exutoire post-punk.
Chaque morceau prend un chemin différent. Durant en moyenne près de six minutes, les chansons ont le temps de se construire, de tout détruire, et de repartir à bloc depuis des cendres encore brûlantes. La voix tordue du chanteur fait des merveilles. Si les tourments et les riffs de Deerhunter ne sont pas très loin (Forgiveness), c’est bien le propre foutoir d’Ought qui est à l’origine de cet album à la fois bancal et stable. Les boucles du synthé de Matt May viennent te percuter la tête, pendant que la batterie insuffle un rythme presque hypnotique (Around Again). La fin de l’album est tout autant chaotique, les quatre gamins ne semblent pas à cheval sur les bonnes manières.
Et pour couronner le tout , les prestations scéniques à la Mécanique Ondulatoire et au Pitchfork Festival, viennent confirmer tout le talent du groupe.
Titres coups de ♥ : Pleasant Heart, More Than Any Other Day, The Weather Song, Habit.
J’en ai parlé ici.
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Last modified: 30 novembre 2021